- Laurent Combaz
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Testo La Légende Anao
Testo La Légende Anao
Parti tout seul depuis trois jours
Dans la forêt
Dis-toi que tu chercheras toujours
Le secret qu'on t'a raconté
Cette fille au bord de la rivière
Qui n'a qu'le vent pour s'habiller,
Des yeux de pluie pour regarder
Celui qui veut s'approcher.
Il ne faut pas désespérer
Mais on l'a tous fait...
Et si tu te sens fatigué,
Méfie-toi de la forêt.
Ne sens-tu rien derrière ton dos?
Ne vois-tu pas quelqu'un venir?
Si tu la trouves au bord de l'eau
N'oublie pas de lui dire...
Anao, Anao,
Moi j'ai jeté ce que j'avais de trop
A l'eau; Anao,
Restons tous les deux cheveux contre peau.
Anao. Rien de trop...
Tu sais que les rêves ont une fin
Surtout quand ils sont merveilleux
Après la nuit vient le matin
Et l'eau qui coule dans les yeux.
Comme moi tu resteras debout
Sans voir où est-ce qu'elle a pu fuir.
Comme je l'étais, tu seras fou
Et tu n'pourras que dire...
Anao, Anao
Tout était vrai pour moi, rien n'était trop
ou faux, Anao
J'ai rêvé de tes yeux tant de fois!
Anao, Anao,
On a jeté ce qu'on avait de trop à l'eau,
Anao,
On pouvait rester cheveux contre peau
Anao, rien de trop...
Dans la forêt
Dis-toi que tu chercheras toujours
Le secret qu'on t'a raconté
Cette fille au bord de la rivière
Qui n'a qu'le vent pour s'habiller,
Des yeux de pluie pour regarder
Celui qui veut s'approcher.
Il ne faut pas désespérer
Mais on l'a tous fait...
Et si tu te sens fatigué,
Méfie-toi de la forêt.
Ne sens-tu rien derrière ton dos?
Ne vois-tu pas quelqu'un venir?
Si tu la trouves au bord de l'eau
N'oublie pas de lui dire...
Anao, Anao,
Moi j'ai jeté ce que j'avais de trop
A l'eau; Anao,
Restons tous les deux cheveux contre peau.
Anao. Rien de trop...
Tu sais que les rêves ont une fin
Surtout quand ils sont merveilleux
Après la nuit vient le matin
Et l'eau qui coule dans les yeux.
Comme moi tu resteras debout
Sans voir où est-ce qu'elle a pu fuir.
Comme je l'étais, tu seras fou
Et tu n'pourras que dire...
Anao, Anao
Tout était vrai pour moi, rien n'était trop
ou faux, Anao
J'ai rêvé de tes yeux tant de fois!
Anao, Anao,
On a jeté ce qu'on avait de trop à l'eau,
Anao,
On pouvait rester cheveux contre peau
Anao, rien de trop...
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