- Dalida
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- Il Venait D'Avoir 18 Ans
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- Et Puis ... C'est Toi
Testo Et Puis ... C'est Toi
Testo Et Puis ... C'est Toi
Comme un oiseau blessé
qui ne sait plus chanter
Comme une corde de guitare qui vient de se briser
Comme un soleil qui meurt en plein coeur de juillet
Comme une ombre qui pleure sans savoir ou aller
Comme un jour où l'espoir n'est plus qu'un souvenir
Comme un jeu de miroir d'ou l'on ne peut sortir
Comme une fleur arrachée par le vent et la pluie Comme une heure arrêtée au cadran d'une vie
Et puis c'est toi
Toi qui ne sauras rien de tout cela
Tu es venu, avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tends les bras, tu viens
Et je m'étonne à chaque fois, mon amour
Comme un hiver sans fin qui n'attend plus l'été
Comme l'image d'un matin que l'on ne peut oublier
Comme la voix du silence qui vient nous crucifier
Comme un soir où l'absence est trop lourde à porter
Comme un chemin de pierres qui mène à la dérive
Au milieu de la mer où nul ne peut nous suivre
Quand le courant nous tire le hasard nous retient On s'éveille en délires du sable dans le main
Et puis c'est toi
Toi qui ne sauras rien de tous cela
Tu es venu, avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tends les bras, tu viens
Et je m'étonne à chaque fois, mon amour
Et puis c'est toi
Toi qui ne sauras rien de tous cela
Tu es venu, avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tends les bras, tu viens
Et je m'étonne à chaque fois
mon amour.
qui ne sait plus chanter
Comme une corde de guitare qui vient de se briser
Comme un soleil qui meurt en plein coeur de juillet
Comme une ombre qui pleure sans savoir ou aller
Comme un jour où l'espoir n'est plus qu'un souvenir
Comme un jeu de miroir d'ou l'on ne peut sortir
Comme une fleur arrachée par le vent et la pluie Comme une heure arrêtée au cadran d'une vie
Et puis c'est toi
Toi qui ne sauras rien de tout cela
Tu es venu, avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tends les bras, tu viens
Et je m'étonne à chaque fois, mon amour
Comme un hiver sans fin qui n'attend plus l'été
Comme l'image d'un matin que l'on ne peut oublier
Comme la voix du silence qui vient nous crucifier
Comme un soir où l'absence est trop lourde à porter
Comme un chemin de pierres qui mène à la dérive
Au milieu de la mer où nul ne peut nous suivre
Quand le courant nous tire le hasard nous retient On s'éveille en délires du sable dans le main
Et puis c'est toi
Toi qui ne sauras rien de tous cela
Tu es venu, avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tends les bras, tu viens
Et je m'étonne à chaque fois, mon amour
Et puis c'est toi
Toi qui ne sauras rien de tous cela
Tu es venu, avec de l'amour jusqu'au bout des doigts
Je tends les bras, tu viens
Et je m'étonne à chaque fois
mon amour.
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