- Hubert Félix Thiefaine
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- Lorelei Sébasto Cha
Testo Lorelei Sébasto Cha
Testo Lorelei Sébasto Cha
Mon blues a déjanté sur ton corps animal
Dans cette chambre où les nuits durent pas plus d'un quartd'heure
Juste après le péage assurer l'extra-ball
Et remettre à zéro l'aiguille sur le compteur.
Ton blues a dérapé sur mon corps de chacal
Dans cet hôtel paumé aux murs glacés d'ennui
Et pendant que le lit croise l'aéropostale Tu me dis "Reprends ton fric. Aujourd'hui c'est gratuit.
"Lorelei, Lorelei
Ne me lâche pas j'ai mon train qui déraille
Lorelei, Lorelei
Et je suis comme un cobaye qui a sniffé toute sa paille
Tu m'arraches mon armure dans un geste un peu lourd
En me disant "Reviens maintenant je te connais.
Tu me rappelles mes amants rue barrée à Hambourg
Quand j'étais l'orpheline aux yeux de feux follets.
Tu me rappelles mes amants perdus dans la tempête
Avec le cur-naufrage au bout des bars de nuit."
Et tu me dis "Reviens je suis ton jour de fête.
Reviens jouir mon amour dans ma bouche-agonie.
"Lorelei, Lorelei
Ne me lâche pas j'ai mon train qui déraille
Lorelei, Lorelei
Et je suis comme un cobaye qui a sniffé toute sa paille
Le blues a dégrafé nos curs de cannibales
Dans ce drame un peu triste où meurent tous les Shakespeare
Le rouge de nos viandes sur le noir sidéral
Le rouge de nos désirs sur l'envers de nos cuirs
Et je te dis "Reviens maintenant c'est mon tour
De t'offrir le voyage pour les Galapagos."
Et je te dis "Reviens on s'en va mon amour
Recoller du soleil sur nos ailes d'albatros.
"Lorelei, Lorelei
Ne me lâche pas j'ai mon train qui dérail
leLorelei, Lorelei
Et je suis comme un cobaye qui a sniffé toute sa paille
Dans cette chambre où les nuits durent pas plus d'un quartd'heure
Juste après le péage assurer l'extra-ball
Et remettre à zéro l'aiguille sur le compteur.
Ton blues a dérapé sur mon corps de chacal
Dans cet hôtel paumé aux murs glacés d'ennui
Et pendant que le lit croise l'aéropostale Tu me dis "Reprends ton fric. Aujourd'hui c'est gratuit.
"Lorelei, Lorelei
Ne me lâche pas j'ai mon train qui déraille
Lorelei, Lorelei
Et je suis comme un cobaye qui a sniffé toute sa paille
Tu m'arraches mon armure dans un geste un peu lourd
En me disant "Reviens maintenant je te connais.
Tu me rappelles mes amants rue barrée à Hambourg
Quand j'étais l'orpheline aux yeux de feux follets.
Tu me rappelles mes amants perdus dans la tempête
Avec le cur-naufrage au bout des bars de nuit."
Et tu me dis "Reviens je suis ton jour de fête.
Reviens jouir mon amour dans ma bouche-agonie.
"Lorelei, Lorelei
Ne me lâche pas j'ai mon train qui déraille
Lorelei, Lorelei
Et je suis comme un cobaye qui a sniffé toute sa paille
Le blues a dégrafé nos curs de cannibales
Dans ce drame un peu triste où meurent tous les Shakespeare
Le rouge de nos viandes sur le noir sidéral
Le rouge de nos désirs sur l'envers de nos cuirs
Et je te dis "Reviens maintenant c'est mon tour
De t'offrir le voyage pour les Galapagos."
Et je te dis "Reviens on s'en va mon amour
Recoller du soleil sur nos ailes d'albatros.
"Lorelei, Lorelei
Ne me lâche pas j'ai mon train qui dérail
leLorelei, Lorelei
Et je suis comme un cobaye qui a sniffé toute sa paille
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