Testo Porte Z
Testo Porte Z
Une plaine et des choeurs d'enfants
Rien n'était plus beau qu'aujourd'hui
Le soir tombait comme un rideau
Les jeunes gens s'en allaient
Le soir tombait comme un rideau
Métallique
Et les jeunes gens s'en allaient Rêvant à l'air libre allergène
D'une autre plaine
Et le jour avait
Une couleur d'été, de printemps
Des milliers d'avions
Eventraient le ciel mais nous n'avions
Et le jour avait
Une couleur d'été, de printemps
Des milliers d'avions
Eventraient le ciel mais nous n'avions
Peur de rien
Dans la plaine montait enfin Cette clameur qui étourdit
Les nues se fendaient de sifflets
Les jeunes gens s'en allaient
L'azur se fendait de sifflets
Métalliques
Et les jeunes gens s'en allaient
Par mille! Ivre cohorte
Qui hâtivement élevait au milieu de la plaine . . .
Parmi l'ivre cohorte
Ils s'en allaient
S'en allaient
S'en allaient
Sur le champ
S'en allaient seperdre
Au milieu de l'ivre cohorte
Qui hâtivement élevait
Un grand bûcher pour se distaire
Là, tout juste au coeur de la plaine
Au coeur de la plaine
Et le jour avait
Une couleur d'été, de printemps
Des milliers d'avions
Eventraient le ciel mais nous n'avions
Et le jour avait
Une couleur d'été, de printemps
Des milliers d'avions
Eventraient le ciel mais nous n'avions
Peur de rien
Rien n'était plus beau qu'aujourd'hui
Le soir tombait comme un rideau
Les jeunes gens s'en allaient
Le soir tombait comme un rideau
Métallique
Et les jeunes gens s'en allaient Rêvant à l'air libre allergène
D'une autre plaine
Et le jour avait
Une couleur d'été, de printemps
Des milliers d'avions
Eventraient le ciel mais nous n'avions
Et le jour avait
Une couleur d'été, de printemps
Des milliers d'avions
Eventraient le ciel mais nous n'avions
Peur de rien
Dans la plaine montait enfin Cette clameur qui étourdit
Les nues se fendaient de sifflets
Les jeunes gens s'en allaient
L'azur se fendait de sifflets
Métalliques
Et les jeunes gens s'en allaient
Par mille! Ivre cohorte
Qui hâtivement élevait au milieu de la plaine . . .
Parmi l'ivre cohorte
Ils s'en allaient
S'en allaient
S'en allaient
Sur le champ
S'en allaient seperdre
Au milieu de l'ivre cohorte
Qui hâtivement élevait
Un grand bûcher pour se distaire
Là, tout juste au coeur de la plaine
Au coeur de la plaine
Et le jour avait
Une couleur d'été, de printemps
Des milliers d'avions
Eventraient le ciel mais nous n'avions
Et le jour avait
Une couleur d'été, de printemps
Des milliers d'avions
Eventraient le ciel mais nous n'avions
Peur de rien
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