- Aurélie Cabrel
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- Il Y Aurait
Testo Il Y Aurait
Testo Il Y Aurait
Il y aurait quelques étoiles
Pour accrocher à nos colliers
Un clair de lune interminable
Des jongleurs de curs embrassés
Dans un monde idéal
Il y aurait des clones de toi
Dans la nuit suspendues au branche
Des lanternes pour se voir rêver Quelques fleurs cachées sous la manche
D'un vendeur d'amour et de paix
Dans un monde idéal
Il y aurait des clones de toi
Il n'y aurait plus jamais d'envieux
Moins de peur ancrée dans les yeux
Plus de vie au fond d'un tiroir
Et surtout ne plus jamais devoir
Se dire adieu
Il y aurait en haut des échelles
Quelques hommes pour garder le ciel
Dans les villes dans chaque ruelle
Des annonceurs de bonne nouvelle
Dans un monde idéal Il y aurait des clones de toi
On pourrait lire dans un livre immense
Tous les codes de nos différences
En point de mire et comme paysage
De l'amour sur notre passage
Dans un monde idéal
Il y aurait des clones de toi
Il n'y aurait plus jamais d'envieux
Moins de peur ancrée dans les yeux
Plus de vie au fond d'un tiroir
Et surtout ne plus jamais devoir
Se dire adieu
Il n'y aurait plus jamais d'enjeu
Moins de peur ancrée dans nos yeux
Plus de failles dans nos histoires
Et surtout ne plus jamais devoir
Se dire adieu
Pour accrocher à nos colliers
Un clair de lune interminable
Des jongleurs de curs embrassés
Dans un monde idéal
Il y aurait des clones de toi
Dans la nuit suspendues au branche
Des lanternes pour se voir rêver Quelques fleurs cachées sous la manche
D'un vendeur d'amour et de paix
Dans un monde idéal
Il y aurait des clones de toi
Il n'y aurait plus jamais d'envieux
Moins de peur ancrée dans les yeux
Plus de vie au fond d'un tiroir
Et surtout ne plus jamais devoir
Se dire adieu
Il y aurait en haut des échelles
Quelques hommes pour garder le ciel
Dans les villes dans chaque ruelle
Des annonceurs de bonne nouvelle
Dans un monde idéal Il y aurait des clones de toi
On pourrait lire dans un livre immense
Tous les codes de nos différences
En point de mire et comme paysage
De l'amour sur notre passage
Dans un monde idéal
Il y aurait des clones de toi
Il n'y aurait plus jamais d'envieux
Moins de peur ancrée dans les yeux
Plus de vie au fond d'un tiroir
Et surtout ne plus jamais devoir
Se dire adieu
Il n'y aurait plus jamais d'enjeu
Moins de peur ancrée dans nos yeux
Plus de failles dans nos histoires
Et surtout ne plus jamais devoir
Se dire adieu
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